Ce travail sur les auxiliaires modaux s’inscrit dans un ensemble de recherches sur le fonctionnement de la langue, définies dans le cadre de la théorie des opérations énonciatives de A. Culioli.
Cette étude qui se restreint volontairement à can, may, must, montre comment les diverses valeurs de ces trois modaux correspondent à des variations d’une même opération fondamentale.

L’auteur conduit sa démonstration pas à pas, ce qui permet au lecteur de prendre conscience des problèmes qui se posent à propos de l’emploi et des valeurs de ces modaux.
Sa rigueur et sa clarté d’exposition en font un modèle de ce qu’une approche théorique peut apporter tant au linguiste qu’à l’angliciste, étudiant avancé ou enseignant.